En 1977,
alors qu’il est en poste dans la cité thermale, le bouche à oreille l’informe
que le Mufti, célèbre restaurant de l’avenue de la république qui unissait art culinaire,
art pictural et musical dont beaucoup se souviennent encore organise des
expositions de peinture .
En septembre, cette année-là pour Dubas ce sera une première .Ce qu’il présente pourrait le classer dans les peintres naturistes de délicats bouquets de fleurs cotoient des animaux de notre forêt, ces paysages champêtres nous invitent à la rêverie et à la promenade .
Georgette Dupouy qui a table réservée dans cet établissement le découvre et tient à ouvrir son livre d’or « Un enchantement des yeux, des sons de tendresse qui est partout latente dans ce haut lieu de l’amitié pour les artistes »
En septembre, cette année-là pour Dubas ce sera une première .Ce qu’il présente pourrait le classer dans les peintres naturistes de délicats bouquets de fleurs cotoient des animaux de notre forêt, ces paysages champêtres nous invitent à la rêverie et à la promenade .
Georgette Dupouy qui a table réservée dans cet établissement le découvre et tient à ouvrir son livre d’or « Un enchantement des yeux, des sons de tendresse qui est partout latente dans ce haut lieu de l’amitié pour les artistes »
Depuis Yvon
Dubas a fait son chemin, il expose en 1979 à la galerie municipale, puis,
disparait de Dax ; en 2010 voilà notre Yvon qui se présente aux portes du
nouveau musée .Que devient- il ? Il nous conte alors l’histoire d’une
rencontre qu’il fit avec un petit coffret en porcelaine peinte dans une vitrine
de Bayonne où il réside : nous sommes en 1985 .
La retraite étant acquise, il se retire à Marmande où il crée un atelier afin de s’adonner à sa nouvelle passion :la peinture sur porcelaine .
La retraite étant acquise, il se retire à Marmande où il crée un atelier afin de s’adonner à sa nouvelle passion :la peinture sur porcelaine .
Au cours de
sa visite au nouveau musée il est convenu qu’il présentera ses porcelaines du 1er
avril au 31 mai 2010
A nouveau
disparition de l’artiste , il réapparaitra pour une exposition au chateau de
Brindos en 2012 avec notre ami Michel Séran et à la maison de l’Infante à St
Jean de Luz en 2013
En août
2015, il vient faire un petit coucou au nouveau musée en nous informe de son
installation à Dax, il exprime le vœu d’être adhérent à l’Académie .
C’est pour
fêter son retour que cette exposition est organisée, en attendant l’ouverture
de son atelier rue Cazade où son four attend de cuire des ors à 750° ou des
grenats à 900°
Les objets
qui sont exposés nous parlent de l’artiste, de son travail, véritable œuvre
d’orfèvre, de son sens du décor, du choix du support pour des sujets respirant
la poésie, l’harmonie des couleurs :à vous d’apprécier « C’est
rétro » me direz-vous -la beauté n’a pas d’âge- il est bon de temps en
temps de la mettre au goût du jour, alors que souffle sur nos sociétés, notre
culture un vent « destructif »
Je laisse
Georgette Dupouy terminer mon propos « L’art est une fuite en avant et
nous avons tous besoin de créer avec espoir et sincérité , que demander de
plus, le temps fera tout doucement le reste » !!
Serge DOM
PEDRO GILLOT
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