vendredi 23 octobre 2015

FEMME PEINTRE DU XXème SIECLE

Voici " l'histoire simple et belle, d'une femme simple et belle et de son oeuvre" .C'est ainsi que Pierre-Christian TAITTINGER ouvrait sa conférence consacrée à Georgette Dupouy dans sa mairie du 16ème arrondissement de Paris !( le 27 novembre 2001), alors qu'à Dax était commémoré le centenaire de la naissance de l'artiste .
Le conférencier n'a pas manqué d'évoquer quelques noms de femmes qui ont été retenus dans l'Histoire de l'Art en France Madame E. Vigier- Lebrun :elle fut la première dont le talent fut reconnu, il faudra attendre Marie Benoit, Berthe Morizot et Rosa Bonheur qui réussirent à s'imposer dans ce cercle fermé .
Quelques années auparavant , l'Institut d'Art Contemporain de Milan, alors capitale européenne des Arts ( 1988 ) décerna à Georgette Dupouy la "Médaille d'Or de la Ville de Milan" pour l'ensemble de son oeuvre

Un peu plus tard, en 1997,  BERNARD DORIVAL, ancien Conservateur du Musée d'Art Moderne de Paris dans une dédicace pour la parution du livre "Georgette Dupouy, un peintre vrai" conclut :"Elle a été vraie, absolument vraie, vraie d'une vérité qu'atteste toute sa peinture, et qui en fait le prix."
Il faut aussi remonter le temps pour découvrir que Daniel Wildenstein en 1952 présenta Georgette Dupouy comme talent sûr à la Leicester Gallery de Londres en vue des manifestations organisées pour le couronnement de la Reine Elisabeth et en 1949, chez Bernheim Jeune, Maximilien Gauthier  déclare " Georgette Dupouy est née peintre, inexplicablement peintre"



Serge DOM PEDRO GILLOT

mercredi 7 octobre 2015

EXPOSITION Luc GUILLERMO : 1er octobre au 30 novembre 2015

Dédicace pour le vernissage : 9 octobre 2015


En 2015, le musée Georgette Dupouy aura présenté le travail de 2 mosaïstes : Jean – Claude PUBERT qui s’exprime à l’aide de la pâte de verre et aujourd’hui Luc GUILLERMO dont les recherches sont parfaitement définies par monsieur Larousse : «  la mosaïque est l’assemblage en forme de dessin , de petits prismes, de matières diverses colorées pour la décoration intérieure des édifices » !
Luc GUILLERMO offre à notre réflexion ses mosaïques dites sauvages ; il ne va pas manquer de nous éclairer sur ses motivations, d’autant qu’autodidacte sa pratique de l’Art touche aussi la peinture et aux dernières nouvelles la sculpture ; il se veut libre, il travaille d’instinct, les idées viennent, il les saisit goulûment comme il hume l’air lorsqu’il chevauche sa moto
Souhaitons-lui un beau et riche cheminement dans son univers artistique !

Serge DOM PEDRO GILLOT



                                                                 Le Tournois 



                                                                  Miroir




Peinture