Dix ans après sa reprise des pinceaux, Georgette Dupouy se voit accordé par son mari un atelier dans ce qui était la grange de la maison .
Nous sommes en 1952, l’artiste exige une grande baie vitrée ( la fenêtre ouverte) sur le soleil couchant qui lui offre une perspective extraordinaire sur les Barthes et la forêt de Mèes . Elle exige que les murs soient peints en bleu azur, jaune citron et rose bonbon « ces couleurs sont propices à la lumière du soleil couchant que je peux traduire sur mes toiles avec précision », confie-t-elle à ses visiteurs.
En toute saison elle vivra avec la nature qui s’épanouit et meurt sous ses yeux, elle assistera au semailles du maïs, à son épanouissement, à son ramassage et l’hiver venu elle saisira l’instant d’une neige éphémère inondée d’un pâle soleil couchant sur les chaumes de maïs, lui ouvrant ainsi un chemin vers un horizon inaccessible
En toute saison elle vivra avec la nature qui s’épanouit et meurt sous ses yeux, elle assistera au semailles du maïs, à son épanouissement, à son ramassage et l’hiver venu elle saisira l’instant d’une neige éphémère inondée d’un pâle soleil couchant sur les chaumes de maïs, lui ouvrant ainsi un chemin vers un horizon inaccessible
Serge DOM PEDRO GILLOT
cette oeuvre sera présentée au public dacquois dans le cadre des" artistes à l'hopital" le jeudi 9 février 2012 à l'hopital de Dax
accompagneront cette oeuvre celles des peintres : Jean DABBADIE , Jean-Pierre GIENAY , César CEPEDA, Dominique MARSAN, et les sculptures de Catherine VALES
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire